Lorsque l’enfant devient un élève, il change de statut, mais l’envie d’apprendre ou de grandir n’est pas forcément au rendez-vous. Pourtant l’apprentissage est inné déjà chez le jeune enfant… il veut apprendre à manger seul, à marcher et il observe. Mais lorsqu’il grandit, il ne s’intéresse plus à l’apprentissage en tant que tel. Il veut jouer et c’est tout !
Le monde scolaire est contraignant, peu motivant pour les élèves. Dans ce cas, comment faire quand on est professeur particulier et que l’on retrouve face à un enfant qui ne souhaite pas apprendre ? Voici 2 méthodes simples pour vous aider.
Comme indiqué ci-dessus, l’enfant n’aspire qu’à jouer. Dans ce cas, selon la matière enseignée, pourquoi ne pas proposer des exercices sous forme de jeux ?
Pour apprendre l’anglais, on pourrait très bien imaginer un exercice théâtral avec l’enfant pour qu’il retienne mieux la prononciation des mots. Ou encore, selon l’âge de l’enfant, on peut imaginer un spectacle de marionnettes en anglais, en italien ou en espagnol. L’apprentissage des langues étrangères peut être ludique.
Pour apprendre le piano, le professeur particulier a plusieurs pistes à sa disposition : laisser l’enfant découvrir l’instrument par lui-même, éveiller sa curiosité en le laissant expérimenter, tout en proposant des petits exercices courts de solfège par exemple. Les cours particuliers sont un moment privilégié avec le professeur. Vous pouvez en tirer le meilleur profit d’apprentissage en restant à l’écoute de l’enfant.
Cette méthode est encore peu utilisée, car elle suppose une remise en question du professeur particulier. La curiosité est naturelle chez un enfant, encore faut-il pouvoir la solliciter au moment que l’on souhaite.
Partons du principe que l’enseignant n’apprend rien à son élève. Il partage son savoir. Nous entrons dans un échange entre l’enfant et l’adulte. Le cours particulier devient un moment plus naturel et moins strict. L’enfant va alors apprendre sans s’en rendre compte et va aussi pouvoir apporter son savoir à son professeur particulier.
L’apprentissage devient réciproque. Le désir d’apprendre naît alors de la curiosité de l’enfant en face d’une nouveauté. C’est gratifiant pour les deux personnes. Même s’il est jeune, l’enfant a forcément quelque chose à vous apporter et l’accepter permet d’ouvrir le dialogue.
Transmettre un savoir n’est pas toujours facile surtout face à un enfant. Lorsqu’on est professeur particulier, il est important de pouvoir (et vouloir) s’adapter à l’enfant. Cela permet de piquer sa curiosité, le rendant plus réceptif à l’enseignement…
Le monde scolaire est contraignant, peu motivant pour les élèves. Dans ce cas, comment faire quand on est professeur particulier et que l’on retrouve face à un enfant qui ne souhaite pas apprendre ? Voici 2 méthodes simples pour vous aider.
Méthode 1 : l’apprentissage par le jeu
Comme indiqué ci-dessus, l’enfant n’aspire qu’à jouer. Dans ce cas, selon la matière enseignée, pourquoi ne pas proposer des exercices sous forme de jeux ?
Pour apprendre l’anglais, on pourrait très bien imaginer un exercice théâtral avec l’enfant pour qu’il retienne mieux la prononciation des mots. Ou encore, selon l’âge de l’enfant, on peut imaginer un spectacle de marionnettes en anglais, en italien ou en espagnol. L’apprentissage des langues étrangères peut être ludique.
Pour apprendre le piano, le professeur particulier a plusieurs pistes à sa disposition : laisser l’enfant découvrir l’instrument par lui-même, éveiller sa curiosité en le laissant expérimenter, tout en proposant des petits exercices courts de solfège par exemple. Les cours particuliers sont un moment privilégié avec le professeur. Vous pouvez en tirer le meilleur profit d’apprentissage en restant à l’écoute de l’enfant.
Méthode 2 : l’apprentissage par le partage
Cette méthode est encore peu utilisée, car elle suppose une remise en question du professeur particulier. La curiosité est naturelle chez un enfant, encore faut-il pouvoir la solliciter au moment que l’on souhaite.
Partons du principe que l’enseignant n’apprend rien à son élève. Il partage son savoir. Nous entrons dans un échange entre l’enfant et l’adulte. Le cours particulier devient un moment plus naturel et moins strict. L’enfant va alors apprendre sans s’en rendre compte et va aussi pouvoir apporter son savoir à son professeur particulier.
L’apprentissage devient réciproque. Le désir d’apprendre naît alors de la curiosité de l’enfant en face d’une nouveauté. C’est gratifiant pour les deux personnes. Même s’il est jeune, l’enfant a forcément quelque chose à vous apporter et l’accepter permet d’ouvrir le dialogue.
Pour conclure
Transmettre un savoir n’est pas toujours facile surtout face à un enfant. Lorsqu’on est professeur particulier, il est important de pouvoir (et vouloir) s’adapter à l’enfant. Cela permet de piquer sa curiosité, le rendant plus réceptif à l’enseignement…